| 1.Eihei-ji |
| L'Eihei-ji (永平寺?, « temple (ji) de la paix (ei) éternelle (hei) »[1],[2]), transcrit aussi Eihai-ji, est l'un des deux principaux temples japonais de l'école Sōtō du bouddhisme zen[3]. Il a été fondé en 1244 par Eihei Dōgen qui introduisit le sōtō au Japon depuis la Chine. Eihei-ji se situe dans le bourg d'Eiheiji, dans la préfecture de Fukui au Japon.
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| 2.Hōkyō-ji |
| Le Hōkyō-ji (宝慶寺) est un temple bouddhiste zen de l'école sōtō fondé vers 1278 à Ōno, préfecture de Fukui au Japon[1].
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| 3.Myōtsū-ji |
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Myōtsū-ji (明通寺?) est un temple bouddhiste Shingon situé à Obama, dans la préfecture de Fukui au Japon.
Le hon-dō de l'époque de Kamakura et le tō, sa pagode à trois étages, sont des trésors nationaux du Japon. Un certain nombre de sculptures de l'époque de Heian sont désignées biens culturels importants du Japon, et il y a un jardin avec un étang[1].
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| 4.Yoshizaki-gobō |
| Yoshizaki-gobō (吉崎御坊?) est le nom d'un ancien temple de la ville d'Arawashi, district de Sakai, préfecture de Fukui au Japon. Il est surtout connu pour sa relation à Rennyo, fondateur de la secte bouddhiste Ikkō-shū. À l'époque, il s'appelle simplement Yoshizaki dans la province d'Echizen.
Quand Rennyo est chassé de Kyoto et perd sa position d'abbé en chef du Hongan-ji en 1471, Ichijoin du Kōfuku-ji, prêtre de Yoshizaki, le cède à Rennyo. Celui-ci y construit une résidence sacerdotale et gagne rapidement une réputation parmi les paysans des environs et les agriculteurs qui se regroupent dans la secte Ikkō, ou « simples d'esprit ».
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